Baie d’Arcachon, la marque bio anglaise Ren Skincare vient d’ouvrir son premier Spa en France.
Innovante et performante, la jolie marque bio anglaise Ren Skincare vient d’ouvrir son premier Spa en France, et pour une fois, ce n’est pas à Paris, mais dans la baie d’Arcachon, au sein du tout nouvel hôtel branché, l’Ha(a)ïtza.
Ouvert sur la piscine sous verrière ouvrante (praticable été comme hiver, donc), le Spa baigné de lumière dispose de quatre cabines de soins REN Skincare, d’un bar à ongles Kure Bazaar, d’une cabine privée d’ aquabike et d’un sauna. On y va pour profiter des soins visage sur-mesure prodigués par des praticiennes formées aux protocoles propres à cette marque, qui font la part belle aux pressions et aux modelages pendant la pose des soins (à partir de 35€ le soin de 20 mn).
Résultat : une détente des traits immédiate et un drainage des tissus sur le long terme qui assure un bel éclat à notre peau pendant toute la durée du séjour. Bien sûr, rien ne nous empêche de profiter aussi d’un soin corps comme le massage détente du cuir chevelu justement appelé « La tête dans les nuages » (45€ les 30mn) ou d’un gommage marin tonifiant particulièrement bienvenu pour prolonger son bronzage (95€ les 60mn).
Le plus : le matelas à mémoire de forme sur lequel on est étendu pendant le soin, imaginé et commandé expressément par la propriétaire du lieu. Ancienne dentiste, elle fait du confort de ses clientes une priorité !
ET AUSSI… UN SALON DAVID LUCAS !
Arcachonnais d’origine mais Parisien d’adoption, le coiffeur David Lucas en profite aussi pour investir le Sud-Ouest en ouvrant un salon dans l’hôtel. Comme le reste du lieu, tout a été décoré par Philippe Starck, qui a gardé les codes emblématiques de l’adresse parisienne. On y retrouve les fauteuils Knoll et les comptoirs en marbre, le tout avec parquet noir et grandes baies vitrées sur la cour intérieure et la piscine. Aux ciseaux, Simon, formé chez Éric Roman, et, de temps en temps, le maestro David Lucas himself (Shampoing + coupe, à partir de 47 €).
L’HÔTEL HA(A)ÏTZA EN DEUX MOTS
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